Le poète Admin
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| Sujet: Barack Obama se fait représenter à l’investiture du chef de l’Etat Ivoirien Mar 24 Nov - 13:31 | |
| Barack Obama se fait représenter à l’investiture du chef de l’Etat Ivoirienprésident de la République Alassane Ouattara, suite à sa victoire au premier tour avec 83,66 % des suffrages exprimés au scrutin du dimanche 25 octobre dernier.
A cette investiture prendront part plusieurs personnalités de divers pays, notamment le Président des Etats Unis d’Amérique, Barack Obama qui s'est fait représenté par le conseiller au département d'Etat des Etats-Unis, Thomas A. Shannon, les Présidents Macky Sall du Sénégal et Yayi Boni du Bénin,
"Thomas A. Shannon, Chef de la Délégation américaine sera accompagné par l'Ambassadeur des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, Terence P. McCulley et Linda Thomas-Greenfield, Sous-secrétaire d'Etat chargée des Affaires africaines", souligne un communiqué de presse de l'Ambassade des Etats-Unis en Côte d'Ivoire.
Il faut noter qu’à la fin de l’investiture du Président Alassane Ouattara, la délégation américaine va animer une conférence de presse. | |
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Le poète Admin
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| Sujet: Après les attentats, Hollande rencontre Obama pour reprendre la main dans la lutte contre Daesh Mar 24 Nov - 14:06 | |
| Après les attentats, Hollande rencontre Obama pour reprendre la main dans la lutte contre DaeshFrançois Hollande a débuté lundi un marathon diplomatique pour convaincre ses partenaires occidentaux de créer une grande coalition internationale en Syrie, en incluant la Russie. Ce mardi, il rencontre le président américain Barack Obama, avant Angela Merkel mercredi puis Vladimir Poutine, jeudi.
François Hollande a débuté un marathon diplomatique qui l'a fait rencontrer lundi David Cameron. Si le Premier ministre britannique a affirmé soutenir "fermement" le président français, ce dernier devra se montrer autrement plus convaincant pour obtenir mardi l'aval de Barack Obama pour former la grande et unique coalition mondiale qu'il appelle de ses voeux, et ainsi reprendre la main dans la lutte contre Daesh en Irak et en Syrie. La délicate question des troupes au sol"Détruire Daesh n'est pas seulement un objectif réaliste, c'est une tâche que nous allons mener jusqu'au bout", réaffirmait dimanche le président américain. "Les Etats-Unis ne reculeront pas", promettait-il alors. Si le but poursuivi est semble être le même pour les deux pays, la manière d'y parvenir reste difficile à concilier.De l'autre côté de l'Atlantique, on estime que les Etats-Unis sont à la tête de cette coalition internationale depuis août 2014, et Barack Obama ne compte pas changer de stratégie militaire. D'autant que son armée serait responsable de 90% des frappes contre Daesh. Le président américain a rappelé que les Etats-Unis n'enverraient pas de troupes au sol en Irak et en Syrie. Or ce week-end, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian estimait qu’une victoire contre Daesh passait "obligatoirement, (…), par une présence au sol", mais a rejeté que cette présence soit française. Aucun pays ne semble prêt à envoyer des hommes sur le terrain.
Et pourtant, "il n'y aura pas de victoire militaire contre Daesh à court terme", prévient le général de Villers, chef d'état-major des armées françaises, dans le JDD. Et d'ajouter "on ne détruit pas un ennemi par des bombardements aériens, mais au sol.""Alliés" avec la RussiePour François Hollande, son entretien avec son homologue américain sera aussi l'occasion de parler du rôle que peut jouer la Russie à leurs côtés. Il y a encore quelques semaines, c'est la rencontre - glaciale - entre Barack Obama et Vladimir Poutine, lors de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, qui marquait le rythme de la lutte contre Daesh avec comme point central de divergence: le maintien ou non de Bachar al-Assad en Syrie.
Depuis les attaques de Paris, le langage utilisé pour parler de la Russie a changé. La priorité en Syrie n'est plus le départ de Bachar al-Assad mais bien la lutte contre l'Etat islamique. Du côté de Moscou, le rapprochement est acté: Vladimir Poutine a demandé à ses navires de guerre d'entrer en "contact direct" avec le porte-avions français Charles-de-Gaulle, positionné au large de la Syrie, et de travailler avec l'armée française "comme avec des alliés". Une entente cordiale qui pourrait prendre fin encore une fois au moment de parler du sort du président syrien. | |
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